Ebook gratuit SOROS et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, by Pierre-Antoine Plaquevent
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SOROS et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, by Pierre-Antoine Plaquevent
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Détails sur le produit
Broché: 366 pages
Editeur : Le retour aux sources (15 octobre 2018)
Langue : Français
ISBN-10: 2355120870
ISBN-13: 978-2355120879
Dimensions du produit:
23,8 x 2 x 17 cm
Moyenne des commentaires client :
4.6 étoiles sur 5
8 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
50.139 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Bien qu'elle soit à bien des égards déterminante pour l'avenir du continent européen, l'action des réseaux Soros n'a jamais fait l'objet d'une publication d'envergure qui lui soit uniquement consacrée (hormis "Les réseaux Soros à la conquête de l'Afrique" de Stéphanie Erbs, Vincent Barbe et Olivier Laurent, VA Press, 2017, qu'il faut également lire).C'est aujourd'hui chose faite avec cet ouvrage qui, bien que possédant quelques imperfections mineures, par exemple une évidente faiblesse bibliographique (références incomplètes) et une nécessité d'approfondissement et de vérification (certains développements peuvent aussi donner lieu à quelques réserves), n'en constitue pas moins une mine de renseignements pour un public français largement sous-informé, voire désinformé.En effet, depuis le milieu des années 70, George Soros, véritable "homme d'état sans état", n'a cessé d'agir pour peser sur le cours du monde en général, et de l'Europe en particulier, en essayant de les façonner pour, en définitive, les faire correspondre à sa vision du monde; à tort, on n'y a guère, en France, prêté attention faute de publication lui étant entièrement consacrée.Certes, des informations ponctuelles et parcellaires nous sont parvenues au gré d'articles relatifs le plus souvent aux "révolutions de couleur" qui secouaient tel ou tel pays, le plus souvent d'Europe Orientale mais ce livre est le premier qui, sous une forme de synthèse, nous livre, à la fois, un survol de l'histoire du personnage (le plus souvent au travers de ce qu'il a bien voulu en dire), avec son passage jugé fondamental à la "London School of Economics", ainsi qu'une vue la plus juste et la plus complète possible sur son mode d'enrichissement, ses pensées et son action.Cet ouvrage décortique la pensée de George Soros (à l'aide de nombreuses citations de lui-même) et les moyens qu'il met en oeuvre pour transformer par étapes le monde, le plus souvent à l'insu des populations, depuis que sa fortune le lui permet. Le concept de "société ouverte" issu de la pensée de Karl Popper constitue le but ultime dont les fondations George Soros et leurs appendices multiples (qui ressemblent étrangement aux sociétés écrans du monde économique) , qui ont essaimé dans nombre de pays et qui constituent un levier pour influencer l'histoire, constituent les instruments pour y parvenir.Le chapitre consacré aux différents théâtres d'opération dans le monde de l'"Open Society Foundations" ne saurait naturellement pas être exhaustif loin de la, mais il donne une bonne idée du type d'interventions mises en oeuvre, ce "soft power" qui, habilement, remplace dans nombre d'occasions ou vient compléter le "hard power militaire" en oeuvrant pour les mêmes buts. L'efficacité de telles actions, renforcée par le fait d'une convergence avec ce qui fut longtemps les orientations du Département d'Etat américain, ne saurait être inéluctable. Elle repose en fait fondamentalement sur l'ignorance des citoyens mais aussi sur le triomphe des individualismes et la méconnaissance de plus en plus profonde de l'héritage que les peuples ont à sauvegarder.La "crise migratoire" que connaît l'Europe constitue l'un de ces théâtres privilégiés dans lequel l'efficacité et l'influence des réseaux Soros a fait ses preuves à tel point que sans eux, on en vient à se demander si elle aurait vraiment eu lieu. On voit ici toute la perméabilité aux idées sorosiennes de certains parmi les plus influents des dirigeants "européens", modernes apprentis-sorciers, qui combattent la construction d'une Union européenne alternative telle celle proposée par le groupe de Visegrád, perméabilité existant également au sein de l'Eglise catholique. Les réseaux Soros ne sont naturellement pas en reste pour influer le traitement du thème migratoire par les médias (un exemple, parmi d'autres, est donné en Italie par la "Charte de Rome", "protocole déontologique", en fait, "outil de contrôle de l'information et d'encadrement des médias sur la thématique des migrants" (p-196).Des liens directs existent entre les déstabilisations récentes orchestrées au Moyen-Orient et en Libye et la crise migratoire que connaît l'Europe; un point important souligné rapidement (p-218) par l'auteur et qui reste à approfondir, car certains des acteurs de l'un et de l'autre sont communs ou proches, est la possibilité que l'ensemble fasse partie d'un même outil métapolitique du globalisme visant en fait en premier lieu l'Europe (cela pouvait d'ailleurs faire d'une pierre deux coups : le premier coup étant de "régler leur compte" aux derniers régimes incarnant ou ayant incarnés le nationalisme arabe (Irak, Syrie et Libye) et de faire ainsi correspondre l'opposition existant dans le monde arabe au globalisme au seul repoussoir constitué par l'islamisme radical afin de se rallier un maximum de nations).On en vient irrésistiblement à penser, qu'au delà de la destruction des sociétés que nos ancêtres ont construit et dont nous avons hérité, l'aboutissement du concept de société ouverte conduit fatalement à l'avènement d'une époque de chaos généralisé (reste à savoir qui pourra en tirer les marrons du feu ! ).Un autre théâtre d'opération évoqué qui toucha d'abord l'Amérique Latine et l'Amérique du Nord, mais connaît à la suite et comme d'habitude, de rapides répercutions en Europe est constituée par l'action en faveur de la dépénalisation totale de l'usage des drogues à l'échelle internationale et ses véritables arrière-plans. De même, un autre chapitre relatif aux médias aborde leur utilisation aux Etats-Unis comme "levier métapolitique" et le soutien massif en faveur du camp "démocrate".L'implication en Europe Orientale des réseaux Soros est également évoquée (Roumanie, Macédoine, Russie...) ainsi que les réactions salutaires qu'elles provoquèrent dans certains de ces pays notamment en Hongrie et en Russie (et qui, dans ce dernier pays, aboutirent à la fin de l'ère Eltsine, à l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine et à la fin de la toute puissance des oligarques).Dans la dernière partie de l'ouvrage, sont également examinés l'aspect et les racines messianiques du projet véhiculé par George Soros, son opposition au sionisme et le rôle de "Katechon" que posséderaient (potentiellement) les états-nations pour s'opposer à l'avènement de la société ouverte, à l'image d'un dernier rempart.En postface, Lucien Cerise montre qu'en fait, "société totalitaire" et "société ouverte totalitaire" se ressemblent comme deux gouttes d'eau", la seconde, évidemment, présentant un caractère beaucoup plus dangereux (l'individu, sans racines et sans repères, devra y naviguer en permanence au milieu d'une mer hostile et parsemée de récifs, sans espoir d'accèder un jour définitivement à un rivage stable de terre ferme).Tablant sur l'extension des amnésies individuelles et collectives, l'action entreprise conduit en définitive à oblitérer les possibilités de choisir son destin en imposant un dogme extérieur, bâti suivant l'auteur en fin de compte sur "une haine viscérale de l'humanité" et du"socle des constantes anthropologiques qui nous constituent" (p-354), ce qui le conduit à considèrer George Soros comme le digne héritier de Richard Coudenhove-Kalergi.Lire ce livre, c'est obligatoirement s'interroger sur le pouvoir sans limite et sans précédant de l'argent dans le monde d'aujourd'hui (et, pour Soros, comment il a été acquis, c'est à dire, essentiellement, par des spéculations au détriment des devises nationales (on reste bien sûr pantois devant l'inaction des gouvernements liés par un système financier international largement obsolète qui permet de telles pratiques et manquant singulièrement d'imagination !) et conduit un seul individu à rivaliser de puissance avec les états, voire à les dépasser en puissance (quelques autres rares exemples ont toutefois existé depuis la seconde moitié du XIXème siècle et la naissance des marchés financiers).Il permet également de réfléchir à comment ce pouvoir s'exerce mais aussi sur la puissance des féodalités financières internationales capables d'imposer d'une manière ou d'une autre leur volonté aux états et aux peuples (cherchant quelles que soient les conséquences de leurs actes, à en tirer un substantiel et trébuchant bénéfice) et la coupable complaisance, si ce n'est complicité, de certains gouvernements.On ne peut également faire l'économie d'une réflexion un peu plus profonde que celle généralement proposée sur les "théories du complot" et sur la pratique de certains comportements qui, naturellement (on serait tenté de dire, évidemment) aident à la propagation de ces dernières et qui sont, quant à celles-ci, pour le moins, fort peu combattues.Parmi les autres pistes de réflexion générées par cette lecture se trouve évidemment celle de l'ingérence et de la souveraineté des nations, cette dernière de plus en plus malmenée à l'heure actuelle mais aussi du domaine public et du domaine privé et de leurs interactions (on voit même à un niveau moindre de plus en plus de sociétés privées dont le but déclaré est purement économique se mêler de politique ou de faits sociétaux, ce qui n'est bien sûr pas leur rôle et qui, logiquement, devrait amener à revoir le statut dont elles bénéficient).On voit également qu'est mis à mal l'égalité des citoyens à décider de leur destin et on en vient à penser, dans le prolongement du livre "Les droits de l'homme contre le peuple" de Jean-Louis Harouel (Desclée de Brouwer, 2016), que la manipulation du concept des "droits de l'homme" est bien souvent orchestrée à de toutes autres fins et aboutit à la déstabilisation de sociétés multi-séculaires, des solidarités qui en sont le fondement, et à la détérioration bien souvent drastique des conditions de vie de la majorité des individus qui constituaient celles-ci. Tout cela s'intègre parfaitement aux méthodes d'ingénierie sociale et notamment de cybernétique (mentionnées vers la fin du volume) mises en oeuvre pour transformer, pratiquement à leur insu, le comportement et l'identité même des individus considérés non plus comme des citoyens mais de simples "sujets sociaux" façonnables à merci.En résumé, une multitude d'informations (et une myriade d'associations et d'organisations) qu'il est urgent de connaître, de diffuser et de compléter (ou d'approfondir) ainsi qu'un aperçu de "la réalité sordide que dissimule... l'habillage humanitaire et anesthésiant du discours de la société ouverte" (p-230).On attends avec impatience que les états qui s'opposent à ces actions lancent non seulement eux-mêmes une enquête multi-directionnelle approfondie mais publient dans le détail le résultat de celle-ci.Concernant la crise migratoire actuelle, on lira avec beaucoup d'intérêt l'ouvrage de Kelly Greenhill, "Weapons of Mass Migration: Forced Displacement, Coercion, and Foreign Policy" (Cornell University Press, 2010, Ithaca, NY) qui traite du sujet quasiment jamais abordé jusqu'ici au niveau universitaire de la "manipulation et de l'exploitation politiques des migrations" et de l'efficacité de ces pratiques au travers de plusieurs exemples historiques de différentes époques. Ce travail, rapidement mentionné dans le présent ouvrage, malheureusement, sans ses références complètes, même s'il ne traite pas directement du phénomène migratoire actuel, peut aider beaucoup à mettre en perspective ce dernier et aider à approfondir toute réflexion quant à la situation présente.
Ce livre décrit la nouvelle colonisation, non pas fait par les armes mais celle réalisée par les réseaux d'influences moraux et immoraux.Parmi ceux qui se prétendent éthiques les OGN et c'est là toute la magie de nos républiques : les idéaux de gauche (internationalisme, laïcité, immigrationnisme, world culture, progressisme etc...) correspondent à merveille avec ceux du grand capital. Pour illustrer ceci : Soros, 2nde fortune mondiale grâce à la bourse et homme de très bon coeur via toutes ses OGN dont une présidé par une tête de liste FI.
Bon livre bien documenté
Ce livre est passionnant et le fruit d'une longue recherche
Un "philanthrope" bien cynique et mégalomane qui s'est auto-conféré une "mission" : la Société Ouverte à l'échelle planétaire et ce à n'importe quel prix (c'est le cas de le dire...) Un individu amoral comme seule la haute finance sait nous les synthétiser : pile je gagne avec l'immigration massive ultracorvéable, et face... je gagne aussi sur les décombres des continents que je déstabilise... Tout cela pour un caprice chimérique pseudo-humanistico-philosophique qui n'est pas sans créer des remous d'ailleurs dans le camp occidental et dans le monde juif. Bref, lecture très fortement recommandée...
La première partie du livre expose les réseaux sorosiens et ses ramifications, ses moyens (l'ingénierie sociale ou l'art de manipuler la conscience des peuples pour les transformer en une masse de moutons décérébrés), les derniers chapitres exposent la généalogie de l'idéologie mortifère du pseudo-philanthrope SCHWARTZ dit SOROS ( Schwartz (noir en allemand) de Svart, nom présent dans la mythologie nordique, c'est SURT, le géant noir du feu, venant du sud, qui conteste la paternité de la création du monde au Dieu WOTAN ) . Intéressant est le passage consacré au "Katéchon", qui s'oppose à la venue de l'Antéchrist. Un livre très intéressant qui éclairera ceux qui cherchent à comprendre la volonté morbide des pseudo-élites occidentales de promouvoir la submersion migratoire d'origine congoïde en Europe et l'occident en général.
Soros et la société ouverte est le premier livre français mettant au grand jour l’influence globaliste du financier George Soros. Le livre présente le passé de Soros, pour ainsi comprendre sa philosophie et sa vision de la politique. Le livre montre aussi de manière factuelle l’influence et les différents leviers d’action de Open Society Fondation et des diverses ONG qui forment les réseaux Soros.Le livre permet de comprendre l’influence de l’ingénierie sociale de Soros sur les décisions prises par les gouvernements, le nôtre y comprit, en matière d’immigration, de libéralisme économique, d’abolition des frontières, de dépénalisation des drogues ou encore de l’euthanasie. Un livre passionnant et très bien écrit, permettant de mettre en lumière ce personnage et son influence déjà très controversés dans les pays d’Europe de l’Est.
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